La Semaine de la gastronomie française en Israël s'invite aussi à Tibériade !

Un merveilleux cadeau d’anniversaire pour les 2000 ans de la ville, mais aussi une occasion pour commémorer les 100 ans d’une fabuleuse collaboration entre la France et Israël.

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Cette année encore un programme grandiose a été organisé en partenariat avec la municipalité de Tibériade, l’association hôtelière de la ville de Tibériade, l’école culinaire de Rimonim et les Villes jumelées de Montpellier et de Saint-Raphaël, sans oublier la chambre de commerce France Israël de Lyon et UFE-Israël. 

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Pour ses 2000 ans, Tibériade va être le rendez-vous des étoiles. Les chefs Khalid Ayarman et Fabrice Moya seront cette année accompagnés de quatre chefs de Montpellier qui apporteront goûts et saveurs de la France à Tibériade et seront accueillis par le chef Ilan Roberg et les éleves et professeurs de l’école culinaire Rimonim. 

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L'événement « Les chefs cuisinent pour la paix » est déjà une tradition et c’est un plaisir de voir des chefs druzes, juifs, arabes et chrétiens cuisiner de pair avec ces étoiles françaises. Ces mêmes chefs vont offrir leur savoir aux chefs de la délégation, avec une master classe "casher" lors d’une journée inoubliable. Cette année, « Les chefs cuisinent pour la paix » aura lieu le 9 février. 

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Tibériade apporte cette année la gastronomie grand public. Venir à Tibériade sera une occasion de découvrir les toques : 

• Les 5 et 7 février dans des ateliers de formation de l’école culinaire Rimonin, 

• Le 6 février lors de la grande fête des goûts et saveurs du centre culturel Yad Shetrit, 

• Le 8 février lors d'une master classe “casher“ pour les chefs 

• mais aussi le 9 février au souk où on retrouvera la cuisine des anges blancs.

Du 4 au 9 février, ne manquez pas également une très belle exposition du centre Fleg de Marseille, présentée en Israël par l’UFE-Israël, et dans laquelle il est rappelé que Tibériade fut la capitale des français d’Israël et que ses habitants ont été sauvés grâce à la volonté de la France et, plus particulièrement, grâce à une déportation volontaire vers la Corse.